De la difficulté d’arriver à 40 ans sans conjoint et sans enfant
Bonjour,
L’autre jour, il m’a été donné de lire un texte écrit par une personne dont je suis de loin ce qu’elle publie sur son blog. Je veux dire par là qui j’y reviens tous les 2 ou 3 mois.
Il y a peu, cette personne a donc publié un texte que j’ai trouvé plein de sens (et de sensibilité) par rapport au fait d’arriver à 40 ans et de n’avoir ni conjoint (ou concubin ou appelez ça comme vous voulez) ni enfant.
Ça m’a fait réfléchir à ma vie et à la Chance énorme que j’ai. Epoux et père de famille, je souhaiterais parfois avoir un peu plus de temps. Ce n’est pas que je souhaite en consacrer moins à ma famille, non, il me faudrait pouvoir en passer moins pour mon travail mais ça, au vu de la tournure que ça a pris depuis quelques années, je pense que je dois ne pas/plus l’espérer.
Est-on jamais content de ce que l’on est et de ce que l’on a? Poser la question c’est y répondre, au moins en partie. En ce qui concerne celui qui vous écrit, je suis très heureux d »être entouré et je me réjouis de revoir mes trois grâces dès que je dois m’absenter. Puis-je, maintenant que j’ai connu ce bonheur, m’imaginer vivre sans? Certes, la Bête Humaine est pleine de ressources et dotée d’une résilience impressionnante mais, pour moi, je ne m’en crois guère capable pour le moment. Un jour, les enfants quitteront la maison, un jour l’une ou l’autre personne de notre couple ne sera plus mais c’est de l’ordre de l’inimaginable.
Madame, je vous souhaite le meilleur pour la suite. Ne désespérez pas! Quelqu’un viendra vers vous comme vous irez vers lui.
Bien à vous!


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