« I can see for miles »
Bonjour,
Le général De Gaulle écrivait que depuis La Boisserie à Collombey-les-Deux-Églises la vue portait sur une trentaine de kilomètres sans rencontrer de constructions ou d’autres traces de la présence de l’Homme. Ah, spectacle admirable, propice à l’élévation de la pensée.
Sans me prendre pour le Grand Homme, je dois dire que j’apprécie, en levant les yeux des écrans que j’utilise, le spectacle sans cesse renouvelé que la Nature me propose:
Ce jour-là, il « neigeait »
Ceci m’amène au titre de l’article. Il s’agit d’une puissante chanson de The Who qui parle de tromperie. Le sujet n’est pas bien nouveau. Par contre, je relève deux ou trois phrases, qui, à mes yeux et mon cœur, sont de la poésie qui me touche:
« I know you’ve deceived me, now here’s a surprise
I know that you have ’cause there’s magic in my eyes »
ou encore
« The Eiffel Tower and the Taj Mahal are mine to see on clear day
You thought that I would need a crystal ball to see right through the maze »
J’aime beaucoup.
Bien à vous!
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